Si la première partie de l’épiscopat d’Hugues n’est pas très brillante, cet évêque réformateur qui a eu une longue carrière ( 1080 – 1132) favorisera beaucoup le monachisme et des congrégations régulières dans sa région. Outre son action pour la Grande- Chartreuse et Saint-Antoine l’Abbaye, il installera notamment la collégiale augustinienne de Saint-Martin de Miséré, les chanoines réguliers de Saint-Jeoire, le monastère bénédictin de Chalais. Il terminera son ministère en odeur de sainteté, au point qu’il sera canonisé dès 1134 par Innocent III.